
1°) SCARLATTI K 304 SCOTT ROSS .
Andante en sol majeur
Je vous avais dit mon émotion lors de la retransmission d'un concert donné à Genève par Jean Guilhem Queyras et Alexandre TharaudJe vous proprose donc:
2°) SCHUBERT Sonate pour arpeggione D.821 J.G. QUEYRAS /A.THARAUD

Voici ce que dit J.G.Queyras de cette sonate: « L'arpeggione est une synthèse de tous les Schubert .Sa luminosité en apparence insouciante ne peut masquer une angoisse sous-jacente qui apparaît dans la conclusion,de l'éblouissant Mi majeur du deuxième mouvement.
Mais cette alchimie schubertienne est fragile et tient parfois à d'infimes détails, notamment dans les nuances. C'est pourquoi l'étude du manuscrit nous a été précieuse . le trait de plume de Schubert est porteur d'une palette expressive dont aucune édition imprimée, même la la mieux intentionnée, ne peut rendre parfaitement compte.


Voici ce que dit J.G.Queyras de cette sonate: « L'arpeggione est une synthèse de tous les Schubert .Sa luminosité en apparence insouciante ne peut masquer une angoisse sous-jacente qui apparaît dans la conclusion,de l'éblouissant Mi majeur du deuxième mouvement.
Mais cette alchimie schubertienne est fragile et tient parfois à d'infimes détails, notamment dans les nuances. C'est pourquoi l'étude du manuscrit nous a été précieuse . le trait de plume de Schubert est porteur d'une palette expressive dont aucune édition imprimée, même la la mieux intentionnée, ne peut rendre parfaitement compte.
Illustration: J.L.Forain la lettre et l'absinhe